Puisque les mots ne peuvent pas plus dire que l’horreur, la douceur ordinaire des cohabitations sereines
Archives de l’auteur : mariegautheron
Sous le soleil exactement
ce qui faisait de ce coin de rue, à cet instant-là, un point intense, un espace-temps saturé, c’était
Grande Ourse
ce doux frou-frou on ne sait jamais si c’était
nos étoiles au ciel la Grande-Ourse même qui sait
Assomption
Portée par des anges, les bras et les yeux levés au ciel, une femme en robe rose et manteau bleu s’envole au-dessus d’une campagne, d’un village…
Naël et Maërl -stigmates et concrétions
l’espace public est un grand épiderme blessé… Alors que des blessures anciennes continueront de saigner. Et les coraux de la rage, de croître et de se ramifier.
Rafales
ce ne sont pas les Rafales supersoniques des Champs Elysées qui occupent les esprits aujourd’hui, encore moins les 26 Rafales vendus à l’Inde, mais les rafales, tout simplement.
juste une image : Al-Ma’arrî
Toutes les religions se valent dans l’égarement – al Ma’arrî
Sine Saloum Symbioses
La Mangrove. C’est une terre flottante, immergée, une mer plantée d’arbres.
Dakar au pied de mon arbre
À lui seul, le grand arbre dit tout. Indissociable de la cabane qui pousse et s’accroche à ses pieds, et des débris qui s’amoncellent tout autour, inextricablement.
Omertà, no – Conca d’Oro
All’nord – All’est – All’ovest – Ma finalmente – Sto dirigendo al Sud
Il Pan del Diavolo, Mediterraneo